Le développement de Las Terrenas par les français

Selon Rafael Andújar

Progres Francais Las Terrenas V01

La présence française à Las Terrenas débute en 1975 avec l’arrivée au village de Juan el francés, Jean le français, qui a marqué un tournant dans la vie de ce qui n’était qu’alors qu’une communauté de pêcheurs, d’agriculteurs, un regroupement de petites cases sans eau potable, électricité, ni téléphone, et des routes en mauvais état.

C’est Juan el Francés qui fait le premier pas vers la modernisation de Las Terrenas avec la création de l’hôtel Tropic Banana, un village qui compte aujourd’hui des hôtels et des restaurants de bonne qualité.

Découverte des attractions

Les premiers à avoir tiré bénéfice des plages locales, la première attraction de la zone, sont les Français, qui ont passé le mot à leurs concitoyens, et c’est comme cela que se font les premières arrivées de touristes.

Le village des pêcheurs est la première attraction artificielle de la zone. C’est en 1987 que la première case est rachetée par un étranger, et peu à peu le lieu voit apparaître des restaurants et des bars, alors très prisés des touristes, pour sa proximité avec la mer.

Les Français s’intéressent alors aussi aux collines, qui offrent une vue imprenable sur l’océan.

L’arrivée des Dominicains

El Portillo naît en tant que projet familial en 1978 avec la construction de sept cabanes individuelles, qui appartenaient à la famille Prieto, Manolín Álvarez, Tony Rodríguez, Manuel Arturo Peña, Los Paiewonsky et à un Allemand.

L’électricité

La base du développement de Las Terrenas, au-delà de ses paysages paradisiaques et de ses magnifiques plages, c’est l’arrivée de l’électricité, avec la compagnie Luz y Fuerza, qui débute ses opérations le 5 janvier 1994.

Le tourisme immobilier

C’est en 2009 que les projets immobiliers commencent réellement à se développer, avec la CONSTRUCTORA BISONÓ CENTURY 21, RE/MAX ou encore COLDWELL BANKER,

La presse reflète le développement de Las Terrenas

Les journaux locaux tels que le LT-7 Las Terrenas, et Infos Diario, ou encore Las Terrenas Live sur internet, permettent aussi de mesurer le développement de Las Terrenas.

Las Terrenas, capitale économique de Samaná

De 1998 à 2012, cinq banques s’installent à Las Terrenas. Dans l’ordre, la Banco del Progreso, en 1998, Baninter qui est aujourd’hui la Soctiabank, en 2003, la Banreservas en 2003, la banque Popular en 2005, la banque León, en août 2006 (jusqu’à 2012), la banque AEDEMI en 2010 et la banque Santa Cruz, en 2012.

 

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