DÉVELOPPEMENT & GOLF DE LAS TERRENAS

Le 3 mars dernier, durant l’événement Las Terrenas Ciudad de Dios, la population de Las Terrenas a reçu comme message inattendu le début imminent des travaux du Golf de Las Terrenas.

Le 18 mars dernier, l’ingénieur Maximino BRITO LAZALA, responsable du Fonds d’Investissement Privé pour le Développement de Las Terrenas, Président de la firme Investment Caribbean Realty Inc. et Co-Président de Century Global Caribbean Venture LLC, a reçu Sylvain MAUFRAIS pour une interview et offrir quelques éclaircissements sur le travail effectué à Las Terrenas avec le projet de Golf.

Interview avec l’Ingénieur Maximino Brito Lazala

Première Partie

Sylvain MAUFRAIS

Cher Ingénieur Maximino Brito Lazala, merci de nous recevoir ici chez vous. Le 3 mars derniers, lors de l’évènement Las Terrenas Ciudad de Dios, le village de Las Terrenas a reçu comme nouvelle inattendue le début imminent des travaux du Golf. Comme vous pouvez vous imaginer, beaucoup d’interrogations ont fait surface. Nous avons tenté de les résumer par les questions suivantes :

J’ai cru comprendre que vous êtes un ingénieur civil ayant à son actif beaucoup de réalisations dans le pays, mais pouvez-vous nous en dire plus sur vous et sur la raison de votre présence à Las Terrenas ?

Ing. Maximino BRITO LAZALAMaximino Brito Lazala 01

Avec plaisir. C’est un honneur pour moi de pouvoir utiliser le média ayant la plus grande portée de Las Terrenas afin de communiquer non seulement avec ce merveilleux village mais aussi avec la République Dominicaine et le monde, car j’ai cru comprendre que cette interview est ensuite traduite en anglais, français et sera également publiée en espagnol.

Vous m’avez posé une question à laquelle il m’est un peu difficile de répondre car je suis une personne qui s’est formée essentiellement en lisant les écritures et en croyant à la bible. Et dans les saintes écritures, il est dit : Qu’un autre te loue, et non pas ta propre bouche. Mais dans le cas présent il s’agit de votre initiative, vous me demandez de vous parler un peu de ce que j’ai accompli au cours de mon exercice professionnel et de mes années de vie.

Je dirais que pour comprendre ce que j’ai réalisé et le dire avec toute la précision nécessaire, il faut se remonter à mes premières années.

Je suis arrivé à Saint-Domingue à l’âge de huit ans, en pleine invasion nord-américaine après la fin de la Guerre d’Avril, et c’est dans ce contexte que je me suis formé, avec l’illusion de voir la patrie libre, la patrie grande.

Mais à cette époque, l’attitude généralisée de la jeunesse était de voir l’impérialisme nord-américain comme le coupable de tous les maux, car c’était le temps de la Guerre Froide.

C’est ainsi que je me suis formé. A quatorze ans j’étais déjà membre d’un cercle littéraire et j’ai pu écrire un texte qui a été enregistré dans le club culturel. Je m’en rappelle de quelques strophes.

Mes enfants lorsqu’ils étaient à l’étranger et que c’était mon anniversaire m’appelaient et me demandaient as-tu dis je suis fatigué ? car pour me rappeler de ces années de lutte, de travail durant lesquelles nous avons tous rêvé de voir la République Dominicaine libre, indépendante et souveraine, inspirés par tous les événements ayant surgi avant et après la mort de Trujillo, en voyant ce qu’était la Révolution d’Avril, j’ai écrit un morceau de ce qui pourrait être considéré un essai de poésie à mon âge, que voici : Je suis fatigué de voir la vieille muraille, le même horizon et la même plage. Je suis fatigué de la rondeur du globe, de voir un groupe profiter de ce qui devrait appartenir à tout le monde. D’être marié à la vie, de vivre dans le même environnement sans ne jamais voir le changement arriver. Je suis fatigué de tout cela. Du gémissement de la montagne, de l’arrivé de nouvelles années, de voir la triste cabane, de voir le fort faire du mal au faible.

Nous sommes ici à Las Terrenas à la tête d’un effort qui va sans aucun doute (…) faire de Las Terrenas un centre touristique de premier ordre à l’échelle mondiale

Aujourd’hui que nous sommes ici à Las Terrenas à la tête d’un effort qui va sans aucun doute avoir un impact positif et va faire de Las Terrenas un centre touristique de premier ordre à l’échelle mondiale, je pense que ce chant, que j’ai chanté à quatorze ans, a été la norme de ma vie, tout comme le bien commun et servir les autres. A cet âge je dirigeais déjà une école d’alphabétisation pour adultes, je participais de façon intense aux activités politiques de cette époque, mais sur le chemin vers le processus de construction de ce que devaient être mes agissements, j’ai rencontré Jésus-Christ. C’est lui qui guide tout ce que je fais. Ce que je pense et ce que je désire, je le pense à partir de ce que je crois, et c’est que Jésus-Christ est mon Seigneur et mon Sauveur.

J’ai pu réaliser un travail immense, à un vaste niveau, à différents endroits de la planète, et j’ai eu la chance de faire des contributions sur le plan académique, d’être maître d’école primaire, professeur de secondaire, d’université, et de cours spécialisés.

J’ai pu me développer dans le domaine scientifique, et je suis parvenu au sein du Collège d’Ingénieurs, où sont regroupés les ingénieurs, architectes et géomètres, à effectuer un long travail d’enseignement, en essayant d’instruire les membres afin que nous puissions utiliser la science comme outil de travail, à l’inverse de ce qui est souvent la norme. Lorsqu’un nouveau gouvernement est mis en place, ou que des politiciens accèdent au pouvoir, ils séduisent les professionnels pour que ceux-ci, au lieu d’agir comme agents de changement, deviennent des sujets soumis par eux à la volonté de celui qui gouverne pour accéder à des choses qu’il est possible d’obtenir sans avoir à céder.

Ce travail m’a amené à faire beaucoup de choses.

J’ai fait plusieurs spécialités. A la base, je suis un autodidacte qui s’est formé artisanalement, mais je suis également un homme qui s’est consacré à l’étude systématique.

Une des choses que j’ai réalisées au sein du Collège des Ingénieurs lors des trente dernières années, et je suis peut- être le seul à l’avoir fait, a été de proposer des cours sur comment faire et vendre des lotissements.

Ainsi, dans le domaine de l’immobilier, j’ai non seulement à mon actif des projets à succès, mais sur le plan académique j’ai également l’honneur de dire que beaucoup des choses qui sont effectuées aujourd’hui ont fait partie de mes conférences, discours et exposés publics d’il y a vingt, vingt-cinq ans.

Lorsque tu fais partie d’une génération inspirée par Duarte, par exemple, pour voir la grande patrie à la lumière de ce qu’il a pensé, lorsque tu fais partie d’une génération qui voulait voir la justice sociale devenir équité, lorsque tu fais partie d’une génération qui n’a été motivée par aucun bien matériel, qui faisait partie d’un groupe qui s’est uni pour donner ce qui serait nécessaire pour le bien commun, alors tu ne fais pas partie des groupes qui font le contraire.

Si aujourd’hui je suis ici à Las Terrenas à la tête d’un effort économique de premier ordre, de ce qui va être une initiative transformatrice, c’est parce que je n’ai jamais cédé et que je ne me suis jamais rendu. Je n’ai jamais fait partie d’aucun groupe, je n’ai jamais cédé dans le secteur privé ni au sein du gouvernement.

Alors, petit à petit ils m’ont laissé sans espace, parce que ma façon de faire les choses était totalement différente à ce que faisait la plupart : un ami Secrétaire d’État des Travaux Publics t’appelait à ses côtés, et souvent, on ne savait pas qui était le propriétaire de l’œuvre, si c’était le Secrétaire des Travaux Publics, le Directeur du Logement, ou le Directeur des Ressources Hydrauliques, ou quelconque autre fonctionnaire public. Je ne comprends pas cela. Pour moi, si quelqu’un gère des fonds publics, il ne peut pas faire des affaires avec.

Dans cet espace j’ai donc dû prendre la décision de faire mon chemin en-dehors du pays. Et c’est ainsi qu’a surgi mon premier essai formel de me mettre en relation avec le capitalisme pur dans les pays où il existait un niveau de développement différent au notre, en pensant qu’avec toutes les choses que j’avais faites, je ferais partie des groupes principaux.

Mais lorsque je suis arrivé en Europe et que j’ai vu ce que faisaient les européens, notamment sur la Costa del Sol, en voyant le modèle de développement espagnol, je me suis rendu compte sans le dire alors à personne, que ce que j’avais dans la tête était un musée.

Les européens m’ont dit : si tu vas te consacrer au secteur touristique, et au secteur touristique immobilier, va aux États-Unis, parce que le tourisme européen va graduellement rester en Europe.

Alors lorsque je me suis rendu aux États-Unis, non plus à New-York pour rendre visite à un cousin, ou en vacances à Miami, je me suis vraiment rendu compte que moi, qui avait été applaudi tant de fois lors de mes conférences et interventions publiques, était pratiquement un analphabète fonctionnel.

Et c’est ainsi qu’a débuté l’histoire qui m’a amené aujourd’hui ici à Las Terrenas.

Sylvain MAUFRAIS

Pourriez-vous s’il vous plaît nous donner plus de détails sur le projet du terrain de golf ?

Ing. Maximino BRITO LAZALA

Bien-sûr. Écoutez. Au départ le projet du golf est une œuvre titanique. Ce projet a débuté au moment de grands conflits sur les terrains. A l’époque ce n’était pas comme maintenant, tous les terrains n’étaient pas assainis. Ceux qui ont commencé ont fait un effort énorme pour effectuer quelque chose qui donnerait un visage différent à Las Terrenas.Jacques Dartout

Jacques DartoutEn effet, le tourisme a besoin du golf comme un des éléments principaux, certains acteurs ne se sentaient pas représentés malgré la beauté de Las Terrenas et ce que Las Terrenas pouvait offrir.

Il y avait déjà un développement dans le secteur du golf qui avait débuté à Casa de Campo, et qui s’était étendu à Puerto Plata et à l’est à Punta Cana, Bávaro et à d’autres endroits il y avait déjà des terrains de golf en République Dominicaine.

Alors au début j’ai vu le terrain de golf comme une opportunité. Qui me présente cette opportunité ? C’est un sujet intéressant.

Nous ne sommes pas arrivés à Las Terrenas parce que nous y avions fait une étude ou parce que Las Terrenas était le meilleur endroit pour effectuer l’investissement que nous allions effectuer. Nous sommes arrivés à Las Terrenas amenés par des circonstances liées à la situation que vivait alors Las Terrenas.

Au beau milieu de la lutte pour résoudre le problème électrique, un des citoyens les plus distingués et honorables de ce village, Jacques Dartout, se débattait dans un combat avec l’entreprise qu’il avait aidé à fonder.

Alors, monsieur Dartout se trouvait dans une situation extrêmement difficile, et un ami en commun, Miguel Franjul, nous a présentés.

A ce moment-là, il a oublié ce qu’il affrontait de par la situation que tout le monde connaît, et dieu merci les choses se sont canalisées de manière pacifique et ordonnée, et au lieu de me parler de son problème, il a voulu me présenter Las Terrenas.

Lorsqu’il me présente Las Terrenas, je lui présente le groupe corporatif d’investisseurs dont je fais partie.

Je lui explique alors comment j’avais décidé de venir en République Dominicaine, et lui fais savoir que l’effort que j’étais en train de faire était mené par la principale entreprise immobilière de la ville de New York, qui n’est pas seulement la principale entreprise immobilière de la ville de New York : Cooper-Horowitz Real Estate Financing est la principale compagnie immobilière des États-Unis, ce sont des brokers nationaux. En effet aux États-Unis, les entreprises sont étatiques, c’est-à-dire que pour qu’une entreprise puisse aller dans un autre état, il lui faut obtenir un permis spécial.

C’est donc un privilège que n’ont que très peu d’entreprises.

Nous parlons donc d’une entreprise, d’une institution, qui est au plus haut niveau du capitalisme dans le secteur immobilier et qui dans les principaux moments place des investissements pour vingt-cinq mille et trente mille millions de dollars par an, c’est-à-dire pratiquement le double du budget de la République Dominicaine en un an.

Il s’agit donc d’un club fermé, d’un club qui n’avait jamais effectué aucune initiative en République Dominicaine. Toute personne qui est déjà allée aux Bahamas connaît un des plus grands projets des Bahamas, qui a coûté aux alentours de sept mille millions de dollars et les fonds de ce projet ont été générés par Cooper-Horowitz. Il me semble qu’il s’agit de l’Atlantis. Mais cela ne s’arrête pas là.logo-cooper-horowitz-real-estate-financing.png

En ce moment même aux États-Unis, il existe une situation politique intéressante, la pré-campagne, à l’issue de laquelle sont élus les pré-candidats. Ceux-qui seront élus au sein de la convention de chacun des principaux partis (démocrate et républicain) seront présentés comme candidats à la présidence, et à la mi-novembre, le nouveau président des États-Unis sera élu et prêtera serment en février 2017.

Donald TrumpUn de ces pré-candidats est une personne très reconnue, Donald Trump. Presque tous les projets qu’il a fait ont été générés via cette firme Cooper-Horowitz Real Estate Financing. Quasiment tous les projets réalisés par son père avant de mourir à Brooklyn, où il a effectué la plupart de son exercice professionnel, l’ont été avec Cooper-Horowitz, une entreprise de juifs qui se sont associés dès 1964.

J’ai eu le privilège d’arriver là, et avec eux, j’ai fait quelque chose d’extraordinaire. Je pense que le plus gros apport que nous pourrions faire à la République Dominicaine, et pas seulement à des endroits où nous avons déjà des investissements, c’est ce que nous sommes parvenus à faire.

Car je veux que vous sachiez qu’il existe ici une difficulté qu’aucun des gouvernements que nous avons eu n’a affrontée afin de la résoudre qui est la suivante : Prenez une maison comme celle-ci ou quelconque maison ou propriété emblématique de Las Terrenas, comme Villa del Mar par exemple, qui est un complexe. Si je vous dis que si vous prenez les titres de propriété de ce complexe et vous allez à New York, Atlanta, Miami ou Boston, vous ne parviendrez pas à obtenir trois-cent mille dollars en mettant ces titres en garantie… vous pouvez le croire ?

Vous savez pourquoi vous ne pouvez pas les obtenir ? Parce que nos propriétés ne sont pas dans le système, il n’existe pas ce que l’on appelle l’intermédiation financière, c’est-à-dire que les garanties d’ici ne sont pas valables en dehors d’ici.Donald Trump

C’est pourquoi vous voyez qu’un dominicain, un français, un allemand, un italien, un russe ou un canadien qui souhaite acheter une propriété ici à Las Terrenas ne peut pas le faire depuis sa banque à une banque locale : il doit sortir l’argent, si c’est un dominicain, sortir l’argent de New York, qu’il ait hypothéqué la maison ou parce qu’il a des économies, et acheminer cet argent en République Dominicaine pour pouvoir acheter.

Cette situation a créé de grosses difficultés en ce qui concerne le tourisme, surtout le tourisme immobilier, car la plupart des investisseurs amènent l’argent pour faire les projets, mais l’achat se fait avec le capital de banques locales et souvent, si les acheteurs sont dominicains, et parfois étrangers, ils achètent avec les pesos des banques locales, puis ces investisseurs emportent le capital total investi plus les recettes en dollars. C’est alors que le gouvernement se voit obligé, pour maintenir l’équilibre entre les devises ou monnaies d’échange, principalement le dollar, à avoir recours aux emprunts et à l’émission de fonds souverains et tout ce mécanisme qui fait augmenter la dette publique des gouvernements que nous avons eu.

Pourquoi j’insiste sur l’identité de ceux qui soutiennent notre initiative ?

Pourquoi je dis alors que l’apport le plus important que nous pouvons faire à la République Dominicaine sera ce que nous allons faire : des projets en République Dominicaine que nous pourrons vendre aux États-Unis et qu’un citoyen se trouvant à New York, Atlanta, Denver, Washington, Miami ou Toronto, Canada, pourra acheter la propriété que nous allons faire ici comme s’il l’achetait à New York, Toronto ou Atlanta ?

Parce que nous sommes parvenus, sous la direction de Cooper-Horowitz, à créer un système d’affaires qui va nous permettre de faire cela.

Mais pas seulement. En plus de la présence de Cooper-Horowitz Real Estate Financing comme centre principal, nous avons fait une alliance stratégique avec le principal développeur de communautés plates du sud de la Floride, Monsieur Sergio Pino.

Sergio PinoPour que ceux qui nous regardent aient une idée de qui est Sergio Pino : lorsque s’est produite la crise immobilière de 2008, Monsieur Sergio Pino était le représentant de tous les hombuilders, c’est-à-dire des constructeurs de maisons de tous les États-Unis auprès de la Maison Blanche et du Congrès.

Nous parlons d’une personne qui a eu deux compagnies publiques cotées en bourse et qui a fondé deux banques, dont la plus grande banque communautaire du sud de la Floride, U.S. Century Bank.

La crise de 2008 nous a uni, car nous avons trouvé le soutien d’un groupe financier juif qui voulait investir et avait besoin que nous puissions avoir la capacité de mouvoir ces capitaux. D’une certaine manière, aujourd’hui je vois cela comme quelque chose que le Seigneur a favorisé. Je ne suis pas allé chercher Sergio Pino, nous nous sommes rencontré d’une manière très intéressante et avons conclu une alliance stratégique entre son entreprise Century Home Builders of South Florida, qui a construit plus de quatre-vingt communautés plates au sud de la Floride – par exemple au Doral, il est possible de voir de très grands projets que Sergio Pino a fait – et Caribbean Investment Realty, qui résume tout mon exercice professionnel, et qui est une entreprise dont le siège corporatif se trouve en Floride. De cette alliance stratégique est né Century Caribbean Global Venture. Tout ceci est un processus corporatif que j’ai dû apprendre, apprendre comment agir au sein de ces cercles économiques et comment pouvoir comprendre le modèle d’affaires nord-américain.Sergio Pino

J’ai dû suivre des cours de culture corporative menés par des institutions emblématiques et par des consultants, et tout ce processus m’a mené à conclure cette alliance.

Avec cette alliance nous sommes arrivés à Cooper-Horowitz Real Estate Financing, et le résultat de cette alliance, signée en 2009, a été l’intégration d’entreprises et de groupes très importants, numéros un dans leur secteur d’exercice, et pas seulement aux États-Unis.

Logo Century HomebuildersPar exemple, la personne qui va assumer, prendre le contrôle et compléter le terrain de golf que nous allons construire ici à Las Terrenas – parce que nous n’allons pas seulement faire ce terrain de golf, nous sommes en train d’achever le processus d’acquisition du terrain de golf, avec un investissement important, mais nous allons y annexer un autre terrain de golf et un autre terrain de neuf trous, mais nous avons aussi effectué des transactions pour construire sur le tronçon du Boulevard allant de Cosón à La Majagua, plusieurs autres terrains de golf – et la personne qui va diriger et exécuter ces projets est Ron Garl.
« Nous allons donc amener Ron Garl pour la première fois en République Dominicaine, et il va venir à Las Terrenas pour y effectuer un projet de marque mondiale »

Mais qui est Ron Garl ?

Ron GarlRon Garl a construit plus de 325 projets de terrains de golf et clubs privés exclusifs, pas seulement aux États-Unis et au Canada, mais aussi au Maroc par exemple où il est actuellement en train de construire un terrain de golf pour le roi.

Mais il n’est pas seulement en train de construire un terrain de golf pour le roi du Maroc, il a aussi achevé la construction de deux terrains de golf à Shangai, en Chine.

Il a construit un projet pour les retraités ayant un niveau économique élevé appelé Solivita, à Orlando, mais aussi le headquarter de la chaine Mariott à Orlando, où se trouve une très célèbre école de golf.

Nous allons donc amener Ron Garl pour la première fois en République Dominicaine, et il va venir à Las Terrenas pour y effectuer un projet de marque mondiale.

Mais Ron Garl ne travaillera pas seul. En plus de Ron Garl, nous sommes parvenu à nous associer à la plus grande compagnie de land planners du monde, qui depuis 1934 a construit des villes sur les cinq continents, OBM International. Leurs standards font partie de notre modèle d’affaires immobilières.

Qu’est-ce qu’un land planner ?

Les land planners sont les personnes qui vont déterminer la vocation d’un terrain afin de projeter et de concevoir une ville, non pas pour dix ou vingt ans, mais pour cinquante ans ou même un siècle.logo-century-homebuilders

C’est ce qui aurait dû être fait en premier lieu à Las Terrenas, afin d’avoir un master plan, un plan directeur pour que tout se fasse dans le bon ordre.

Ce sont donc des entreprises comme celles que je t’ai mentionnées qui nous accompagnent dans notre effort, mais ce ne sont pas les seules, d’autres compagnies nous ont rejoint.
« Quatorze compagnies des plus emblématiques de Porto Rico font partie du groupe qui travaille avec nous »

Par exemple, Porto Rico, c’est les États-Unis en espagnol, étant donné que les portoricains sont soumis aux lois fédérales et aux lois de l’État libre et associé. Quatorze compagnies des plus emblématiques de Porto Rico font partie du groupe qui travaille avec nous.
« Nous entrons à Las Terrenas avec Merill Lynch Bank of America, à un niveau de banque privée qui nous donne le privilège d’avoir de amples facilités de paiement pour tout ce que nous sommes en train de faire »Ron Garl

Logo Bank Of America Merrill LynchMais nous ne nous sommes pas arrêtés là : nous œuvrons avec la plateforme bancaire la plus importante des États-Unis, en commençant par JP Morgan Chase, où nous avons bancarisé notre projet, mais nous entrons à Las Terrenas avec Merill Lynch Bank of America, à un niveau de banque privée qui nous donne le privilège d’avoir de amples facilités de paiement pour tout ce que nous sommes en train de faire ici.

Le résultat de tout ce que je te mentionne inclut des entreprises locales de République Dominicaine qui nous ont rejoint. Par exemple, l’entreprise qui a commencé pour la première fois Casa de Campo, qui appartient à la personne qui en a tracé les premiers plans, celle qui a fait le plan directeur actuel de Casa de Campo, l’architecte Hugo Quezada Almanzar, fait partie de notre groupe.

L’entreprise qui a effectué le plus de travaux au cours des cinquante dernières années dans le secteur des eaux potables et des égouts, fait aussi partie du team d’entreprises qui travaille avec nous.

Concernant l’électricité, une des entreprises emblématiques du secteur fait aussi partie de notre équipe.

Mais en plus des entreprises techniques, dans le domaine du légal nous nous sommes également fait assister par de grands cabinets d’avocats aux États-Unis et en République Dominicaine, nous comptons également sur de grands cabinets et avocats proéminents qui nous ont aidé à appliquer le modèle en République Dominicaine.
« Nous parlons de quelque chose qui le simple mercantilisme (…) tout ce que nous avons fait va dans un seul sens : Faire un Projet Sanctuaire Écologique Or »

Ce que je veux dire c’est qu’il s’agit d’un effort qui dépasse le simple mercantilisme, c’est à dire le fait qu’une personne vivant à Las Terrenas va faire un effort d’entreprise pour sortir de l’argent. Nous parlons de quelque chose qui dépasse cela. Il s’agit du développement, d’un engagement, car tout ce que nous avons fait va dans un seul sens : Faire un Projet Sanctuaire Écologique Or.

Le but est de créer un modèle d’affaires nous permettant de développer en République Dominicaine pour la première fois des projets qui tout en étant construits ici puissent être vendus aux États-Unis comme si le projet se trouvait là-bas. C’est-à-dire que nous avons résolu le problème de l’intermédiation financière, en parvenant à faire ce qu’aucune entité faisant partie du secteur immobilier en République Dominicaine, pas même Casa de Campo, n’était parvenu à faire : entrer dans le marché de prévente nord-américain.
« Tout ce que nous allons faire ici, est préalablement pré-vendu »

C’est-à-dire que tout ce que nous allons faire ici, est préalablement pré-vendu. Ce dont je te parle n’est donc pas un exercice philosophique, c’est une réalité contondante, claire, précise, car c’est un exercice effectué en collaboration avec un des hommes de plus haut niveau dans le domaine des affaires immobilières qui fait partie de Cooper-Horowitz Real Estate Financing, Jeffrey Bijur, avec la participation de Sergio Pino, de Ron Garl, et de groupes qui même s’ils ne sont pas notoires car ils ne sont pas célèbres, ont fait leur travail. Par exemple, un des domaines les plus difficiles était celui des assurances, car aux États-Unis, une entité grandit suivant la taille de la garantie qu’elle peut obtenir.logo-bank-of-america-merrill-lynch

Une entreprise possédant un bon d’une agence d’assurances d’un million de dollars a donc cette taille. Si elle en a deux, trois, cinq ou dix, sa taille correspond à ces montants.

En République Dominicaine, ce produit n’existe pas. L’assurance de titre n’existe pas non plus, car on fait une assurance de titre mais elle n’est pas dans notre loi.

Une personne qui m’accompagne avait de l’expérience dans le domaine des assurances. Elle a fermé son affaire et nous a rejoint. Aujourd’hui, elle est à la tête d’un produit d’assurances qui nous a permis de surmonter cette barrière, qui est que les banques américaines ne donnent pas d’argent aux développeurs s’ils n’ont pas une garantie permettant d’assurer que les fonds qu’ils vont donner iront au projet.

Elle possède une petite entreprise, nommée JA International Insurance LLC, nous la connaissons très bien, elle s’appelle Jocelyn Acevedo, et elle nous regarde en ce moment, elle est sur le plateau du tournage. Comme elle, je peux te citer d’autres personnes.

Dans le cadre de cet effort systématique, j’ai dû mettre en place ce qui suit : je parle anglais, mais pas l’anglais nécessaire pour conclure une affaire.

Mes trois enfants, ma fille Eva, mon fils Máximo et mon fils Josué parlent parfaitement l’anglais, ils ont étudié aux États-Unis. Je devais alors toujours me faire représenter par quelqu’un qui pourrait me traduire ce que j’entendais (même si la plupart du temps je comprenais tout et avait donc une avantage : celui de préparer ma réponse pendant la traduction), donc par un de mes enfants.

Je suis alors devenu quatre en un, parce qu’un seul de mes enfants ne pouvait pas s’occuper de moi en permanence, je leur ai donc donné un accès leur permettant d’être toujours enregistrés avec moi. Cela m’a permis d’avoir un produit fin prêt dont nous commençons à voir les résultats, ils peuvent être avec moi et sont avec moi, comme mon fils le plus jeune Josué.

Ce pays est fait de bonnes personnes, d’un peuple sain, mais en termes de développement, du point de vue du capitalisme pur, nous sommes en retard, très très très en retard. Ce retard nous limite à l’heure de penser en grand.

Et je peux te dire que le même homme qui est arrivé à la capitale à l’âge de huit ans en pleine invasion nord-américaine, qui a marché dans la rue en disant « mort au yankee agresseur », « mort au yankee envahisseur », qui a quatorze ans était un militant révolutionnaire, qui concevait la République Dominicaine comme une extension de ce qui devait être un pays indépendant et souverain, (et qui la conçoit toujours comme cela), la main de ce même homme que tu vois ici, est une des signatures nécessaires à ouvrir le plus gros fonds privé qui a été fait dans les Caraïbes dans toute l’histoire.
« Cooper-Horowitz Real Estate Financing, la plus grande entreprise immobilière des États-Unis – un fonds d’investissement en République Dominicaine (…) dont je suis co-président, de 4 billions de dollars »

Sans aucune crainte, sans aucune peur, je peux te dire que nous avons fait – sous la responsabilité et en suivant le processus correspondant depuis la première lettre à la dernière avec la firme Cooper-Horowitz Real Estate Financing, la plus grande entreprise immobilière des États-Unis – un fonds d’investissement en République Dominicaine et dans certains endroits des Caraïbes, dont je suis co-président, de 4 billions de dollars. 4 billions de dollars, c’est beaucoup d’argent.

Mais une chose encore plus importante que cela : en ayant connu le capitalisme pur, je peux dire sans crainte ni peur que je suis le président d’une firme enregistrée à Londres, qui a sous son autorité la possibilité d’exécuter des instruments financiers pour beaucoup plus de millions de dollars encore.

Mais cela ne s’arrête pas là : je fais également partie d’une firme au Luxembourg qui possède aussi des bons pour beaucoup de millions de dollars.
« Ce qu’il manque toujours, le capital, est ici présent en quantité »

Cela signifie que ce qu’il manque toujours, le capital, est ici présent en quantité.
« peuple de Las Terrenas (…) ce qui l’attend sont des moments de gloire »

Et je vais dire quelque chose au peuple de Las Terrenas pour qu’il soit tranquille et sache que ce qui l’attend sont des moments de gloire.
« le modèle d’affaires que nous amenons dépasse toute action ou entreprise ayant été faite à Las Terrenas »

Nous venons ici pour rendre aux terreneros, ceux qui sont nés ici, ceux qui sont devenus terreneros, et qui vivent ici, la possibilité de rêver ensemble, car la pensée et le modèle d’affaires que nous amenons dépassent toute action ou entreprise ayant été faite à Las Terrenas.

Ceux qui nous vendent le terrain de golf, une partie, se sont retranchés derrières certains avocats qui veulent que nous leur montrions notre solvabilité financière. Mais pour que vous ayez une idée de comment fonctionne ce modèle, un investissement a été fait à Constanza, nous avons acheté vingt-huit millions de mètres carrés, via un certificat bancaire dont mon associé à ce moment et son groupe familial possédaient quarante-deux pour-cent des actions, a soixante-deux centimes de dollar.

En y incorporant le projet complet et en le développant conformément au modèle, en le divisant en douze communautés pour le construire sur dix ans, en le plaçant sur le marché de la prévente, et en utilisant les fonds de ce fonds privé, ce qui coutait soixante-deux centimes de dollars, coûte maintenant vingt-trois point vingt dollars.
« Nous n’allons pas y mettre un pied jusqu’à ce que chacune de ces familles reçoive une réponse correcte »

Alors, ceux qui questionnent financièrement l’action que nous souhaitons mener ici, ne se sont pas rendu compte que le petit investissement qu’il faut faire ici, soixante millions de dollars, montant pour lequel nous sommes en train d’effectuer la transaction du terrain de golf, en leur donnant quarante-cinq millions d’abord et en laissant un passif de quinze – car tout le monde sait qu’il existe une petite difficulté concernant une action en justice d’un groupe de famille qui réclame une partie de cette terre, et nous n’allons pas y mettre un pied jusqu’à ce que chacune de ces familles reçoive une réponse correcte, car nous venons ici avec la conviction que toute cette lutte ne peut pas être pour faire la même chose, il faut qu’elle serve pour faire justice, et notre justice est pure, car elle ne se fait pas à la foire, elle vient du ciel, c’est celle de Jésus Christ. – ce qui veut dire que ce que nous faisons ici c’est faire de ce projet le club de plage du projet de montagne.

– FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE-

 

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