En sentence définitive
Luz y Fuerza précise que la compagnie productrice d’électricité Progreso El Limón a été condamnée par un jugement définitif de la Cour Suprême de Justice à payer 10,000,000 RD$ à la compagnie Luz y Fuerza de Las Terrenas, laquelle a réaffirmé qu’il n’y avait pas de décision finale du tribunal l’obligeant à payer 7 millions de pesos à Progreso el Limón.
Le bureau juridique de Luz y Fuerza explique que Progreso El Limón tente d’abuser de la bonne foi des médias de communication de Samaná quand elle transmet une information d’un jugement de première instance, qui est maintenant en appel, et qui peut lui donner gain de cause dans un litige qu’elle risque de perdre.
« La réalité est qu’il n’y a pas de jugement définitif contre Luz y Fuerza, alors qu’au contraire il y a une décision de la Cour suprême, avec un statut jugé, qui oblige Progreso El Limón à payer à notre société la somme de 10 millions de pesos, après avoir été reconnue coupable d’envahir notre zone de concession sans l’autorisation de tout organisme officiel, et à installer une distribution depuis Las Terrenas jusqu’à Limón », dit un communiqué de presse du distributeur.
Le communiqué explique également que le jugement contre Progreso El Limón a été confirmé par la Cour Suprême et envoyé à la Cour d’appel de La Vega afin de réévaluer les dommages à Luz y Fuerza, dans une condamnation qui inclue également le distributeur Edenorte.
« En attendant, nous n’avons aucun doute sur le fait que la décision d’un tribunal de Samaná qui favorsie à Progreso El Limón, n’a pas de fondements de fait et de droit, c’est pourquoi elle devra être révoquée dès qu’une instance en appel sera examinée », a déclaré Remarque Luz y Fuerza .
Mais cela ne s’est pas passé ainsi.
Le Général a expliqué que le manque d’agents et de véhicule est un problème qui affecte tous les commissariats au niveau national (même si dans la seule ville de Saint Domingue ont été rajoutées 150 moto pour le service 911, et dont une des motos de Las Terrenas a été retirée du commissariat à cet effet).
Mais le Général a dit qu’il allait répondre aux doléances de la population et faire en sorte que les services de la Police Nationale existants soient OPTIMISÉS (nous aimerions savoir ce qu’OPTIMISÉ veut dire).
De plus le Général a expliqué que tout fonctionnera mieux si le citoyen collabore avec les forces de l’ordre.
« Le citoyen ne doit pas avoir peur de dénoncer, ou seulement indiquer à la Police, ce qui se passe dans son quartier. Nous interviendront immédiatement », a ponctué le Chef de la Police Nationale de la région nord-est.
Le Gouverneur, dans son intervention patriarcale, a insisté sur le fait que la population doit collaborer, et bla bla bla. La politique politicienne ! Nous ne sommes pas d’accord.
Je dois faire une exception pour le Procureur Général de la Court de San Francisco de Macoris, Felipe Restituyo, et son représentant pour la Province de Samaná, le magistrat Robert Justo, qui ont été les seuls à dire que quiconque peut entrer en contact avec eux, en appelant à leur numéro de téléphone respectifs. Les autres ont fait de même mais en oubliant de donner publiquement leur numéro de téléphone.
Le numéro du magistrat Robert Justo, Procureur Fiscal de Samaná est le 829 763 5256. Le numéro du Procureur Général de la Court de San Francisco de Macoris, Felipe Restituyo, est le 809 588 2354.
De plus, le Procureur Général, en déclarations privées, a répondu a mes questions en affirmant que la semaine prochaine la recherche active sur les juges du Tribunal de Samaná donneront leurs fruits.
Nous attendons une réponse monsieur le Procureur, au moins en ce qui concerne ce point, parce que la réunion pour la sécurité fut seulement une de plus.